samedi 30 août 2014

Lundi 1er septembre, YEM en vente !



Le 1er septembre 2014 et donc ce lundi, YEM sera publié par VFB Éditions et distribué sur toutes les plates-formes de téléchargement habituelles, comme Amazon, Fnac, ou encore iBooks. Vous pourrez retrouver les chroniques provenant de blogs littéraires en rubrique Avis des lecteurs, avec une belle unanimité de notes et de coups de cœur.


■ Résumé
Yem, brillante étudiante en langues étrangères et tourisme, a vingt ans quand la Terreur Rouge dévaste l’Éthiopie en 1977. La guerre civile déclenche l’exode de la population et avec sa famille, elle fuit Addis-Abeba pour se réfugier dans un petit village reculé des hauts plateaux.
Yem et sa sœur ont échappé à l’excision grâce aux visions libérales de Petrus, leur père qui élève la femme à l’égal de l’homme. Avec de tels principes qualifiés de subversifs et sa vive intelligence comme sa beauté éblouissante, Yem deviendra une véritable révolutionnaire refusant en bloc l’ordre établi et les coutumes ancestrales.
Quand elle découvre les intentions barbares de son futur mari, Yem rompt ses fiançailles et n’a plus qu’une envie, fuir ce pays qu’elle aime par-dessus tout, mais dont elle refuse les traditions d’un autre siècle ainsi qu’une vie de femme esclave au destin programmé.
Lulit, sa cousine se prostitue à Djibouti et après une longue conversation, Yem prend sa décision. Elle va la rejoindre et plutôt que prendre le train, elle traversera le Grand Rift à pied, une des zones désertiques les plus dangereuses au monde, où la température frôle parfois les 50° à l’ombre. Un désert que personne n’a jamais traversé à pied de mémoire d’éthiopien !
Au cours de ce voyage, elle devra se confronter aux trafiquants d’armes, de stupéfiants, affronter les esclavagistes modernes et fuir par prudence les caravanes de sel. Dans ces contrées où l’homme ne peut survivre, chaque rencontre devient un danger mortel, surtout pour une femme voyageant seule.
Yem survivra au pire, atteindra Djibouti par miracle et se prostituera pour atteindre son but. Reprendre ses études et acheter un jour son hôtel.
Marc Escourra est un sous-officier de l’armée française un peu hors normes. En poste à Djibouti, il est fonceur, courageux dans l’action, ne respecte que la droiture d’esprit et vénère l’amitié, tout en traînant une réputation de vil séducteur. Pourtant, quand il rencontre Yem, il est touché par l’histoire de la belle éthiopienne, sa témérité et sa volonté de fer.
Marc lui apporte son aide désintéressée et soutenu par ses deux amis, Fred et Cédric, il entame une bataille pour sortir Yem de la prostitution afin qu’elle puisse réaliser ses rêves.
La rencontre avec la belle éthiopienne fera des étincelles et allumera un brasier ardent qui réduira en cendres l’amitié que le jeune sergent ressentait pour elle, laissant la place à de plus doux sentiments. Pourtant, l’amour est a priori impossible entre ces deux âmes solitaires et combatives qu’apparemment tout sépare.
Qu’adviendra-t-il de Yem ? Marc réussira-t-il à la sortir de son enfer et à lui offrir ses rêves ? Est-ce que leur amour pourra voir le jour et survivre au destin ?

Éditeur : VFB Éditions
ISBN : 9791092786378
Genre : Doc./Fiction
Date de parution : 01/09/2014
Édition : Numérique
pages : 400
Prix : 2,49 €


Page Facebook YEM officielle : https://www.facebook.com/YemRoman

Bonne journée !
Amitiés littéraires.

jeudi 28 août 2014

Définir son genre littéraire !



Un petit retour sur les techniques littéraires afin de répondre à une question posée par email et qui m’a, je le reconnais, posé problème. Comment définir son propre genre littéraire et le travailler afin d’y être à l’aise. À défaut de donner une réponse exhaustive, voici quelques pistes.


Qu’est-ce qu’un genre littéraire ?
On va rapidement passer sur La Poétique d’Aristote, pour dire que c’est le concept qui permet de classer un texte, quel que soit son format, dans un genre défini par son registre et propre à stéréotyper l’ouvrage avec des codes bien définis et connus du public. Un lecteur s’attend toujours à une intrigue, à des bons et des méchants, un ou plusieurs meurtres, etc. lorsqu’il veut lire un polar. C’est finalement un concept important puisqu’il va, en plus, définir votre style et votre registre.
Enfin, c’est l’adéquation entre votre genre littéraire et la ligne éditoriale d’une maison d’édition qui sera importante pour le succès de vos futures recherches. Eh bien oui, ne riez pas, envoyer un recueil de poésie à un éditeur de polars est bien plus fréquent que vous ne le pensez...

Une liste de genres littéraires ?
Difficile de définir tous les genres littéraires, il en sort très régulièrement de nouveaux. Voici les principaux qui occupent généralement le devant de la scène, par ordre alphabétique.

- Aventures
- Bande Dessinée
- Bit-lit
- Chick-lit
- Conte
- Épistolaire
- Érotisme
- Espionnage
- Essai
- Fantastique
- Fantasy
- Historique
- Horreur
- Poésie
- Polar
- Romance
- Science-Fiction
- Théâtre
- Thriller

Et au-delà de ces genres purement littéraires, il faut intégrer la notion de longueur, nouvelle ou roman, pour faire simple. N’allez pas croire qu’être nouvelliste est une notion péjorative. Primo, c’est aussi difficile que la maîtrise du roman car les codes sont clairement établis et secundo, les éditeurs, à l’ère du numérique, en sont très friands.

Le genre littéraire n’est-il pas naturel ou inné ?
Peut-être bien que oui, peut-être bien que non... Cette réponse peu convaincante est pourtant une stricte vérité car finalement, ce sera votre talent et votre aisance à vous glisser dans un nouveau moule aux codes bien précis qui définira votre ou vos genres littéraires. L’aptitude à l’écriture relève sans doute du talent ou de la fertilité sans bornes de votre imagination, mais cela ne sera jamais suffisant. On n’écrit pas une nouvelle fantastique comme on peut rédiger un roman policier. Tout est différent alors que cela pourrait sembler absolument identique.
Maintenant, il est évident que depuis vos débuts en écriture, vous avez naturellement choisi un genre qui vous convenait et dans lequel vous êtes vraiment à l’aise. Ce qui n’empêche pas l’envie de vous essayer à d’autres domaines qui vous attirent par goût personnel. Et vous auriez raison !

Le danger du genre littéraire unique
Danger est un bien grand mot et si vous vous appelez Maxime Chattam ou Franck Thilliez,  cela vous fera sourire. À moins de vendre des millions d’exemplaires de vos livres - et dans ce cas, vous ne seriez pas en train de lire cet article ! - il y a un risque potentiel à s’enfermer dans un seul genre car votre lectorat ne vous suivra plus que sur un seul registre et risque d’être surpris, voire de bouder vos futures productions dans un autre style.
Apprenez à vous diversifier, autrement dit, ne trempez pas votre plume dans un seul encrier ! Cela implique de vous remettre en question, d’apprendre et surtout d’écouter le conseil de ceux qui savent. Et les possesseurs du savoir dans notre métier, ne cherchez pas trop loin, ce sont les éditeurs qui seront les juges impartiaux de votre écriture.

Le genre littéraire unique, revient-il à collaborer avec un seul éditeur ?
Au-delà des exclusivités ou des droits de préférence, il est certain qu’avec un seul genre de production littéraire, la tendance et le réflexe purement humain seraient de ne collaborer qu’avec une maison d’édition. Et c’est une erreur, d’autant plus lorsque l’on cherche à percer et à atteindre un peu de notoriété. N’oubliez pas que l’éditeur a un planning et vous n’êtes pas le seul auteur de son écurie. Si vous voulez produire souvent et régulièrement, optez pour la multiplication des éditeurs. Mais attention ! Faites votre nid, choisissez bien et ensuite, soyez fidèle en alimentant régulièrement ces maisons. Répondez toujours à leurs demandes et fournissez des projets à chacun d’eux. Votre existence d’auteur sera à ce prix.

Comment se diversifier en plusieurs genres littéraires ?
Un seul mot d’ordre, il faut essayer et avoir autour de soi des amis sincères, étant de grands lecteurs et capables de vous dire en face la vérité. Je vous rassure, on peut réussir en n’ayant qu’un seul style littéraire, les preuves autour de nous sont suffisamment réelles et bien concrètes. Maintenant, pour multiplier vos chances, il n’y a qu’une seule option. Écrire, écrire souvent, écrire beaucoup et tant pis, si cela ne se termine pas à chaque fois par un contrat d’édition. L’écriture est un apprentissage permanent et si vous êtes déjà édité, parlez de votre projet avec la personne qui vous suit, généralement un directeur éditorial ou un directeur de collection. Il vous donnera de bons conseils et saura vous guider, car il connaît déjà bien votre style.

Une astuce pour se frotter à plusieurs genres littéraires ?
Je vais même vous en donner deux, pour être précis.
La première consiste à prendre un scénario simple. Disons, deux personnages au grand maximum et une action précise, par exemple, un accrochage en voiture. Imposez-vous une longueur de texte assez courte, 10.000 CEC (Caractères Espaces Comprises) soit plus ou moins quatre pages Word. Déclinez le même scénario en autant de genres littéraires que vous souhaitez en apportant à chaque fois autant de soins et d’investissement personnel. Cette histoire peut devenir du fantastique, un bon thriller ou encore de l’érotisme.
Vous verrez que certains genres vous sembleront tout simplement évidents et vraiment plus faciles que les autres. Quand vous aurez achevé vos essais, envoyez le tout à votre éditeur, s’il est d’accord bien sûr, ou à vos amis lecteurs. Les sanctions seront sans appel !
La deuxième astuce, ce sont les concours ! Eh oui, les amis, je vous en ai souvent parlé et c’est encore la meilleure piste pour savoir dans quel genre littéraire vous vous situez vraiment. Choisissez vos joutes littéraires, optez pour différents styles de concours et participez ! Ce sera aussi un bon indicateur en fonction des retours que vous obtiendrez.

Conclusion
Alors, si je ne peux écrire que dans un seul genre et je n’ai qu’un éditeur, je suis condamné à péricliter ?! Bien sûr que non. Ce n’est pas le but de ce billet et avant vous, d’autres ont réussi avec un seul style pour unique bagage.
Multiplier les genres, s’essayer à autre chose, découvrir, apprendre, c’est un peu la base du métier d’auteur. C’est une façon d’avancer et de se donner les moyens de réussir. C’est aussi un pari sur vous-même en essayant d’outrepasser les limites naturelles de votre imagination et de votre faculté à écrire différemment un récit.
Votre passé de lecteur et vos expériences de vie seront les piliers fondamentaux de votre genre littéraire. Inconsciemment, vous avez découvert et intégré les codes d’écriture de votre genre de lecture préférée et enfin, vous saurez parler de ce que vous connaissez bien pour l’avoir vécu.
Votre talent fera le reste ! Promis.


Excellente journée !
Amitiés littéraires.

mercredi 27 août 2014

Les larmes de Satan, par Évy !



Mon roman historique, Les larmes de Satan, a été publié par les Éditions VFB en juin 2014 et depuis, il poursuit son chemin. Vous avez été nombreux à venir me parler d’Antoine et de son parcours incroyable. Ce roman vient d’être lu par Évy, l’administratrice du blog littéraire, Encore un chapitre. Cinq étoiles et un coup de cœur ne pouvaient me laisser de marbre, mais c’est surtout de sa chronique dont j’aimerais vous parler. J’ai été sincèrement ému, surtout par sa conclusion.


Évy se définit comme une dévoreuse de livres et précise qu’elle aime découvrir de nouveaux auteurs. Je suis personnellement ravi qu’elle ait apprécié les larmes de Satan et en parle aussi bien. Je vous mets habituellement des morceaux choisis pour les chroniques qui concernent mes livres, mais cette fois, je ne mettrai que sa conclusion qui mérite votre attention.
Encore un chapitre, un blog à suivre et qui fait donc son entrée sur ce site, dans les rubriques Avis des lecteurs et Blogs littéraires.

Morceau choisi
— « Pour terminer... Lorsque j'étais en BEP, nous avions rencontré un ancien déporté qui nous avait raconté en larmes comment il avait survécu dans les camps. Les raisons pour lesquelles il s'accrochait à la vie et ses premiers instants en dehors, seul, sans famille. Ce livre a fait resurgir l'émotion de cette rencontre et je souhaite remercier l'auteur de me l'avoir rappelée. Il ne faut pas les oublier, jamais. »

Je vous laisse découvrir sans tarder la chronique d’Évy que je remercie encore une fois.
Blog Encore un chapitre : http://encore-un-chapitre.blogspot.fr/


Bande-annonce Les larmes de Satan : https://www.youtube.com/watch?v=z7hnphvn-kQ
Page officielle Facebook : https://www.facebook.com/LarmesDeSatan

Excellente journée !
Amitiés littéraires.

mardi 26 août 2014

Trois chroniques pour YEM !



Cela a commencé hier soir, en fin de journée, puis ce fut ensuite en cours de soirée et pour terminer, ce matin ! Oui, les amis, pas une ou deux, mais c’est bel et bien trois chroniques qui sont arrivées pour YEM ! Et non des moindres... Pour vous faciliter la lecture et ne pas vous envahir d’articles, j’ai préféré parler des trois sur un même billet. C’est parti !


Sébastien TISSANDIER

Sébastien Tissandier est un auteur de talent qui défraie régulièrement les chroniques. Il avait eu la gentillesse de lire Stan et il avait franchement aimé ! (pour lire sa chronique, n’hésitez pas à visiter la page Blogs littéraires, tous les commentaires me concernant sont répertoriés et vous les retrouverez facilement).
Cette fois, Sébastien a lu YEM et j’ai été ému par son retour, ce qu’il en dit et de quelle manière. Alors, je te rassure, Sébastien, si tu as pleuré en lisant, j’en ai fait de même en l’écrivant. La sensibilité n’appartient pas qu’aux femmes et savoir le montrer, en tant qu’homme, est bien une force et non une faiblesse ! Merci infiniment... Un avis 5 étoiles conclut généreusement cette magnifique chronique.

Morceaux choisis
- « ...Somptueux. Bouleversant. Addictif. Tels pourraient être les 3 mots que j’emploierais pour parler de ce roman... »
- « ...Rares sont les livres qui parviennent à me faire pleurer d’angoisse ou de tristesse, et YEM, de Gilles Milo-Vacéri, est de ceux-là... »
- « ...Je peux simplement vous dire que j’ai été bouleversé par l’amour de Yem et Marc, bien différent des romances à l’eau de rose présentes dans d’autres romans, ainsi que par le dénouement tout simplement inattendu... »


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THE SMALL WORLD OF THE QUEEN OF READING

The small world of the Queen of Reading est la nouvelle appellation de ce blog littéraire dont l’administratrice avait déjà bien apprécié Stan, même éditeur. Comme pour Sébastien, vous retrouverez cette chronique à la rubrique Blogs littéraires.
Belinda, l’administratrice, présente sa lecture avec des mots qui m’ont encore une fois profondément touché et comment ne pas s’émouvoir quand on réalise, en tant qu’auteur, que le but a été atteint ? D’autant plus quand il s’agit d’un roman aussi personnel que celui-ci !
En tout cas, désolé pour les deux infarctus, Belinda, j’espère faire aussi bien la prochaine fois et promis, je vous offrirai une boîte de kleenex, on se fait couler deux cafés et on pleurera ensemble !
Merci mille fois...

Morceaux choisis
- « ...Comment peut-on faire pleurer un lecteur rien qu'avec le prologue de son roman, 3 pages... »
- « ...Dès les 1ere lignes, j'ai eu envie de cajoler Yem, de lui mettre des œillères et l'empêcher de voir le mal qu'un être humain peu infliger à un autre... »
- « ...Merci, merci, Gilles pour ce magnifique roman, pour votre plume qui une fois de plus m'a fait chavirer, m'a émue et m'a fait pleurer comme une madeleine... »


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VIOU ET SES DRÔLES DE LIVRES

La dernière chronique est arrivée ce matin et comme les précédentes, le ton, les mots, les commentaires m’ont vraiment ému. Sylvie, l’administratrice, a été très émue, comme moi en la lisant. C’est toujours quelque chose de fort lorsque l’on peut partager une émotion. Bien entendu, comme auparavant, cette chronique rejoint les autres dans la section Blogs littéraires et je suis très heureux, très fier aussi, de vous la présenter.
Enfin, savoir que Sylvie n’avait jamais accordé de coup de cœur avant YEM, m’a tout simplement comblé. Merci beaucoup !

Morceaux choisis
- « ...Un roman magnifique plein d'émotions, l'auteur nous fait ressentir un panel de sentiments tout au long de la lecture : joie, peine, horreur, émerveillement... »
- « ...Il y a longtemps que je n'avais pas lu un tel roman : j'ai eu un nœud au ventre tout au long du récit, les larmes n'étaient souvent pas loin (larmes de tristesse mais de joie aussi)... »
- « ... C'est la première fois que je mets une mention coup de coeur à un roman sur mon blog . Ce roman est plus que ça. Il fait partie de ces lectures qui nous marquent profondément et qu'on n'oublie pas... »


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MES COMMENTAIRES

Bien, je ne vais en faire des tonnes ni jouer de la mandoline, mais ces chroniques, au même titre que les précédentes déjà publiées sur ce blog pour YEM, m’ont énormément touché, ému et vraiment fait plaisir. Je l’ai toujours dit, mon vœu le plus cher est de faire rêver mes lecteurs, de les emporter dans un maelstrom d’émotions, quel que soit le genre littéraire.
Alors quand le but est atteint, comme avec YEM, je ressens un bonheur dans mes tripes que je serai bien incapable de partager avec vous, que je ne saurai même pas décrire ou expliquer.
Ces cinq premières chroniques sur YEM donnent largement le ton de ce roman et décrivent parfaitement les émotions qu’il contient et qui, je le souhaite ardemment, vous emporteront vous aussi quand vous lirez YEM.

Merci, du fond du cœur.


Bonne journée !
Amitiés littéraires.