Je vous l’ai annoncé
lundi dernier, la nouvelle collection des Éditions du 38, Les Reines du
crime, est lancée aujourd’hui avec la publication du thriller, Miroir,
d’Ana Kori. Je connais bien cette autrice ainsi que son talent de plume,
alors j’ai pensé que ça vous ferait plaisir d’en savoir plus sur elle et son
univers. Un univers qui est très proche au mien, par ailleurs, ce qui me permet
d’en parler objectivement. Prêt ? Alors, suivez le guide.
■ Les Reines du crime
Je le disais en réambule, je vous en ai longuement
parlé lundi dans un précédent billet. Si vous l’avez manqué, il est toujours
disponible (lien ci-dessous). Pour faire simple, dans cette catégorie
vous ne trouverez que des autrices talentueuses, sélectionnées par Anita Berchenko
et ayant signé des polars ou des thrillers, dans la diversité très étendue que
propose ce genre littéraire. Une dernière précision, si je vous parle d’Ana
Kori aujourd’hui, vous pouvez faire confiance à Anita et lire les sept romans
proposés dans les Reines du crime. Croyez-moi, c’est du roman noir qui frise
l’excellence !
■
Billet du lundi 31 janvier :
http://www.milovaceri.com/2022/01/les-reines-du-crime-la-nouvelle.html
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Sans plus tarder, je cède la parole à Ana et vous
souhaite une belle découverte.
■ ■ ■
I
- VOUS
■ Parlez-nous
de vous. Qui êtes-vous, quel est votre premier métier, votre parcours, votre
lieu de vie, etc ?
En raison d’un parcours
familial compliqué, je n’ai pas eu l’occasion de faire d’études (du moins, pas
tout de suite après le bac). J’ai commencé à travailler très jeune, sans
qualification particulière, j’ai donc fait pas mal de petits boulots. Puis,
j’ai eu l’opportunité de devenir formatrice et cela a été un tremplin vers les
métiers de l’informatique. Là aussi, je suis entrée par la petite porte ; j’ai
beaucoup travaillé et appris. J’ai gravi les échelons jusqu’à atteindre des
postes de direction (cela m’a pris quinze ans).
Ce que ça révèle sur moi ?
Que je suis une grande bosseuse plutôt autodidacte !
Je gardais quand même dans
un coin de ma tête que je voulais (depuis toujours) écrire des romans. Aussi,
quand mes deux enfants ont volé de leurs propres ailes, j’ai quitté un job
confortable pour me lancer comme écrivaine. Un véritable saut dans le vide !
Ce choix, je l’ai mûri
pendant dix ans, après une période compliquée avec de gros problèmes de santé.
Mise à terre en 2010 par un AVC, j’ai soudain pris conscience que la vie était
trop courte pour ne pas vivre ses rêves.
Cela fait maintenant trois
ans que j’ai basculé dans l’inconnu et je ne regrette rien. Certes, ce n’est
pas simple : je suis loin de mes ami(e)s, c’est compliqué financièrement,
mais je suis épanouie.
Je continue de beaucoup
travailler : la technique notamment, parce qu’écrire, c’est un
apprentissage permanent. C’est d’ailleurs ce qui me plaît dans mon métier
aujourd’hui : se lever en sachant que je peux encore enrichir mes
connaissances, me perfectionner.
Je n’ai cependant pas
abandonné un autre métier que j’affectionne : la formation. Je suis
formatrice indépendante pour des entreprises. J’enseigne la gestion de projet,
le management, la communication non verbale, la gestion des conflits, et
beaucoup d’autres.
■ Quelles sont
vos passions en dehors de l’écriture ?
Je lis énormément :
d’abord pour le plaisir et aussi pour m’améliorer. Je joue aux jeux vidéo,
depuis longtemps. J’ai même été testeuse !
Enfin, je rénove ou
construis des meubles en bois. Passion qui m’a prise un peu sur le tard et qui
me permet de revoir ma manière de consommer. J’apprécie de concevoir les plans,
de partir de quelques planches et de tout réaliser. Ce n’est pas toujours
parfait (rarement même), mais je m’améliore peu à peu.
■
II
- VOTRE ACTIVITÉ D’AUTEUR
■ Depuis
combien de temps écrivez-vous ?
Ma première vraie histoire, je l’ai écrite à neuf ans.
Je venais de finir « Le Horla » et je me suis lancée dans une histoire
fantastique « La main coupée ».
Après cela, j’ai toujours écrit : des textes
(billets d’humeur) ou des histoires courtes que je gardais pour moi. Au début
des années 2000, je suis rentrée dans le cercle de passionnés de jeux de
rôles et j’ai commencé à écrire très régulièrement : des histoires autour
de personnages récurrents, des scénarii, des textes pour faire avancer le Rôle
Play (et là, je faisais lire par les autres, forcément). Ça m’a beaucoup plu et
rassurée sur le fait que ce n’était pas nul !
Puis, après mon AVC, la panne sèche. Quand je
reprenais la plume, tout ce que je couchais sur le papier était triste, sombre,
sans espoir. J’ai donc laissé l’écriture de côté, le temps de comprendre ce
qu’il m’arrivait… jusqu’en 2017. Là, je me suis lancée sur un roman à partir
d’un univers que j’avais créé dans le cadre des JDR. J’avais besoin de savoir
si j’en étais capable. Quand je suis arrivée au bout et que mes proches m’ont
dit que c’était pas mal, j’ai compris que c’était encore possible. Bon, ce
bouquin était plein d’erreurs, la technique n’était pas au top, mais je pouvais
le faire. Je devais travailler, m’y consacrer pleinement. Ce que j’ai fait.
■ Quel est
votre genre littéraire de prédilection ? Envisagez-vous d’en essayer d’autres ?
Incontestablement le
Polar/Thriller et ce, même si j’ai écrit de la SFFF ou du Feel good. Je ne
m’interdis rien, si j’ai envie de me lancer dans un nouveau genre, je le fais.
Évidemment, j’ai appris à reconnaître et décoder les normes de chaque genre,
alors je m’y essaye. Parfois, je comprends que je suis à côté de la plaque,
donc, je mets le projet en pause, histoire d’y revenir plus tard (après avoir
étudié et testé les spécificités du genre).
■ Combien de
temps consacrez-vous à l’écriture dans la journée ? Des moments privilégiés ?
Lorsque je n’anime pas une
formation, je commence à écrire entre 7 et 9 h, jusqu’à 13 h. Je fais une pause
déjeuner et je m’y remets jusqu’à 19 h (tous les jours, week-ends compris).
L’écriture des romans se fait toujours en début de session (le matin avant 11 h
et l’après-midi, jusqu’à 16 h). Ensuite, je passe sur le travail technique
(écrire des passages en utilisant telle méthode, telle figure de style, etc) ou
le travail de recherche (pour les futurs romans) ou l’écriture de synopsis des
projets en préparation. Il y a également la réalisation de publications sur les
réseaux sociaux ou les billets sur mon blog.
■ Avez-vous une
méthode particulière pour écrire un livre ? Avez-vous des ficelles, des trucs,
des manies, des objets fétiches, etc ?
J’ai débuté (comme beaucoup)
en étant une jardinière : je ne planifiais rien, ne faisais pas de
synopsis, pas de bible, etc. J’en suis revenue !
Désormais, chaque roman
dispose d’une trame détaillée, chapitre par chapitre, et dans les séries (avec
les mêmes héros sur plusieurs romans), une bible (similaire à ce que l’on
trouve dans les scénarii pour le cinéma ou les séries).
Grâce à la méthode de John
Truby, je prépare toujours des fiches personnages, pas tant pour évoquer leur
physique, mais surtout pour creuser leurs motivations, leurs besoins, leurs
valeurs. C’est ce qui sera mon guide pour les faire évoluer au fil du récit.
Quant à mon processus, j’ai
décliné la méthode AGILE (issue de l’informatique) à l’écriture. Ce qui
signifie que chaque session d’écriture commence systématiquement par l’analyse
de ce que j’ai écrit la veille. Je relis, contrôle, ajuste... et lorsque je
suis satisfaite, je continue l’histoire. Cela me permet d’avoir des premiers
jets plutôt aboutis, ce qui raccourcit la phase de relecture / corrections.
■ Que
préférez-vous dans votre activité d’auteur ? Avant, pendant, après l’écriture ?
D’autres moments ?
Tous les moments
m’intéressent parce qu’ils sont riches d’enseignement. Cependant, l’étape pure
créative, quand on couche les premières idées, est une phase qui, quoique
stimulante, peut s’avérer frustrante. C’est notamment le cas quand je sens que
je tiens quelque chose sans vraiment réussir à mettre le doigt sur ce qui en
fera une histoire géniale. Pour m’éviter de bloquer sur une idée, j’étale
souvent cette étape sur plusieurs mois. C’est la raison pour laquelle je mène
divers projets de front.
■ Envisagez-vous
l’écriture comme une activité professionnelle à temps plein ?
Oui, c’est quasiment le cas
aujourd’hui. L’écriture occupe 90% de mon temps de travail.
■ Dans votre
bibliographie, quel livre préférez-vous et pourquoi ?
Actuellement, je dirais
qu’il s’agit de « Comme
une caresse sur la joue » (ndla : à paraître aux Éditions du 38 le 15 avril
et déjà en précommande numérique sur toutes les plateformes). Sans doute
parce qu’il y a des sujets qui me touchent particulièrement dans ce roman. Je
l’ai écrit comme tous les autres, en suivant mon synopsis. En le relisant, j’ai
été très émue d’y voir des éléments plutôt personnels, qui ont fortement
résonné en moi. C’était troublant et avec du recul, cela m’a apaisée. Un peu
comme si j’avais enfin mis des mots sur un vécu douloureux.
■ Racontez-nous
l’aventure de votre première publication et comment s’est-elle passée ?
Ma toute première publication a été faite pour un
éditeur numérique qui ne propose que des séries littéraires (Doors,
autrefois Rocambole). Ils avaient lancé un concours pour
l’ouverture de l’application et j’ai écrit une courte série pour l’occasion.
J’ai eu la joie de faire partir des dix retenus. C’était tout au début de mon
aventure en 2019 et c’était mon premier concours : j’étais trop fière !
■ Avez-vous des
projets en cours, à plus ou moins long terme ?
Dans les projets littéraires, j’en ai pas mal en
stock, dont beaucoup avec Les Éditions du 38. Il y aura encore deux
romans à paraître en 2022 après « Miroir » et « Comme une caresse sur
la joue ». Pour 2022, j’ai à ce jour cinq projets en cours de travail et
déjà trois pour 2023.
Sur le plan général, j’étudie aussi la possibilité de
monter une maison dédiée aux artistes, avec des résidences d’écrivains, salles
d’exposition, librairies éphémères, etc. C’est un gros projet qui va exiger que
je change une nouvelle fois beaucoup de choses dans ma vie, donc, je l’analyse
calmement, pose les hypothèses et chiffre chaque scénario pour ne garder que ce
qui est possible.
■ Quels sont
vos auteurs préférés et quel est le dernier livre que vous avez acheté avant de
répondre à cette interview ?
Mon auteur « doudou », c’est
sans conteste Amin
Maalouf. J’ai relu « Léon
l’Africain » et « Le périple de Baldassare » un nombre incalculable de fois. Dans
le genre Thriller, j’apprécie particulièrement les romans de Cédric Sire. Dans le genre Polar, j’ai dévoré les livres de Patricia Cornwell. Sinon, je suis une curieuse, donc j’aime découvrir
des auteurs (autrices) au gré de mes envies du moment ou sur les conseils
d’ami(e)s.
Je suis aussi une grande
lectrice de BD dans tous les genres.
Dernier livre acheté
« Vindicta » de Cédric Sire.
■
III
- VOTRE ACTUALITÉ D’AUTEUR
■
Quel est votre prochain titre à paraître ? Son genre ? Chez quel éditeur et
quand sera-t-il publié ?
Aujourd’hui, c’est mon
thriller « Miroir » qui vient juste d’être publié aux Éditions
du 38 dans la collection Les
Reines du crime (ndla : lire
toutes les informations utiles sur cette nouveauté ci-dessous). Ensuite, ce
sera un autre thriller, « Comme
une caresse sur la joue », même
collection et même éditeur.
■ MIROIR
- Sortie le 4 février 2022
- Numérique et broché
- Thriller
- 215 pages
■ Résumé
Leur florissant business est
menacé lorsque les missions de Charlie sont systématiquement copiées, dans des
mises en scène macabres. Qui se cache derrière ces actes ? Un simple admirateur
ou un véritable ennemi ? Pour espérer continuer leurs activités, ils vont
devoir débusquer ce copycat qui semble en savoir long sur eux.
■ Liens d'achat
-
Amazon Kindle :
https://www.amazon.fr/Miroir-reflet-mal-Ana-Kori-ebook/dp/B09NHTG9ZR/
- Amazon
broché :
https://www.amazon.fr/Miroir-reflet-mal-Ana-Kori/dp/2374539180/
- Kobo : https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/miroir-10
- Éditeur : https://www.editionsdu38.com/catalogue/polars-thrillers/miroir/
■ Pouvez-vous nous parler de sa genèse,
de ce qui vous a donné l’idée de l’écrire, la phase d’écriture, les difficultés
rencontrées, vos recherches, etc ?
J’avais très envie d’écrire
une série d’enquêtes avec des policiers français. Je me suis documentée sur le
fonctionnement de la brigade criminelle, les nouvelles méthodes
d’investigation, les outils de la police et de la gendarmerie. Ensuite, j’ai
pensé aux personnages et notamment à la commandante qui serait au cœur de la
série. J’ai brossé les lignes de ce personnage et je suis venue y greffer les
collègues.
Ensuite, l’intrigue dont je
peux difficilement expliquer la genèse sans dévoiler le cœur du récit (sans
divulgâcher). Tout juste expliquer que lorsque je construis un antagoniste, un
méchant, je l’imagine comme étant un individu fait de doutes et de
certitudes. Je n’aime pas trop les personnages manichéens, trop prévisibles à
mon goût. J’essaye de rendre les ennemis aussi légitimes que les alliés.
■ Auriez-vous un scoop, un secret, une
histoire ou une exclusivité à révéler sur ce livre ?
Lorsque je prépare un roman, selon le sujet, je fais
beaucoup de recherches en amont. Pour celui-ci, j’ai eu besoin de demander
conseil à un psychiatre. Il se trouve que j’en connais deux qui ont déjà
collaboré avec moi sur une autre série de romans, je les ai donc questionnés. L’idée
n’est pas de faire un roman médical, mais de m’approprier des éléments,
théories, méthodes de professionnels pour les inclure dans ma fiction.
Cependant, cela reste toujours une fiction ! J’ai aussi eu l’occasion
d’échanger avec un gendarme sur les techniques d’enquêtes, les procédures, etc.
■
IV
- VOTRE PORTRAIT CHINOIS EN 10 QUESTIONS
Si
vous étiez...
■ Un animal ? Une orque. L’eau est mon élément préféré, et
comme l’orque, j’aime ma tranquillité et déteste être enfermée.
■ Une couleur ?
Le rouge.
■
Le titre d’un film ? Vice et versa
(film d’animation), je me retrouve beaucoup dans le personnage Joie qui tente
de toujours voir le verre à moitié plein.
■
Une devise ? Il ne faut pas
chercher le pou sur la calvitie.
■
Un(e) acteur(trice) ? Sarah
Bernhardt : j’ai été fascinée par cette femme dès mon plus jeune âge et à
l’époque, j’étais une sacrée tragédienne d’après mes proches !
■
Un personnage historique ? Septimia
Bathzabbai Zénobie : la reine de Palmyre qui a défié Rome. Une idole
découverte à travers les histoires que me racontait mon père et qui a façonné
mon besoin de ne jamais abandonner ou plier face à ce que je considère comme
une injustice.
■
Un paysage naturel ? Un fond marin.
■
Un héros de littérature ou de BD ? Gaston
Lagaffe (je suis très étourdie et maladroite).
■
Une chanson ? Play that funky
music (Wild Cherry).
■
Une œuvre d’art ? Unheart (de
Faith47, une street-artiste très inspirante).
■
V
- VOTRE BIBLIOGRAPHIE
■ Romans auto-édités :
- Lola consultante (feel good juin 2020)
- Le jeu du chapeau (série « Les enquêtes
d’Elena Mills » Polar/Thriller août 2020 – Prix du Salon du Livre de La
Rochelle 2021)
- FIDA-I (série « Les enquêtes d’Elena Mills »
Polar/Thriller juin 2021)
- Vénatoria (Anticipation/suspense octobre
2021)
- Mina (série « Les enquêtes d’Elena Mills »
Polar/Thriller janvier 2022)
■ Séries littéraires (Rocambole)
- RUN (saisons 1 & 2 fantastique 2019)
- Invisible (suspense décembre 2020)
- Le tableau (fantastique décembre 2020)
- La Loi Phénix (contemporain avril 2021)
- Les yeux au fond de la mer (légende revisitée
mai 2021)
- Dans la tête d’un monstre (Ed Kemper
(portrait d’un tueur en série juillet 2021)
■ Les Éditions du 38
- Miroir (Polar/Thriller de la collection « Les
reines du crime » 4 février 2022)
- Comme une caresse sur la joue (Polar/Thriller
de la collection « Les reines du crime » 15 avril 2022)
■
VI
- VOTRE TRIBUNE D’EXPRESSION LIBRE
Il y a quelque temps, lors d’un salon, une dame m’a
demandé si j’étais psychiatre, parce que l’une de mes héroïnes l’était. Je lui
ai répondu : « Non, mais je ne suis pas non plus tueuse en série ! ».
Au-delà de la question, j’ai cherché à comprendre les
inquiétudes. Le fond portait davantage sur la légitimité d’écrire une œuvre de
fiction sur tel ou tel sujet quand on n’est pas expert. Puis, la discussion
avançant, cette dame a admis qu’elle ne se poserait jamais la question à des
auteurs et autrices installé(e)s. Nous avons alors trouvé ensemble des exemples
et avons rigolé sur le fait que Stephen King n’avait jamais été un clown
démoniaque !
Cependant, cette anecdote m’a poussée dans d’autres
réflexions. Comme la nécessité, quand on écrit de la fiction, de se documenter
sur des sujets spécifiques ou très techniques. Non pas pour en faire une thèse
(comme c’est parfois le cas dans certains romans où les connaissances prennent
le pas sur l’intrigue ou les personnages). L’objectif est d’asseoir son
histoire sur des bases solides. Ceci afin de rendre crédibles les actes,
paroles et décisions sans perdre de vue qu’il s’agit de fiction.
Je suis consciente du bien-fondé de ces exigences, de
la part de mon lectorat, de ne pas écrire des absurdités, même lorsqu’il s’agit
d’un domaine spécifique. C’est dans ce but que je commande souvent des ouvrages
étonnants ou que j’alimente mon historique de recherches sur Internet de
manière effrayante ! Malgré tout, une fiction ne sera jamais l’exact reflet de
la réalité, tout comme elle sera différente d’une scène déjà lue ou vue, parce
qu’en plus du socle technique, il y a la création, l’imaginaire de l’artiste.
Le tout est que, si c’est bien fait, les lectrices et lecteurs retiendront
l’histoire, les personnages, l’ambiance, les émotions, etc.
Et finalement, si on y réfléchit, c’est l’essentiel !
■
VII
- LES MOYENS DE VOUS SUIVRE ET DE VOUS CONTACTER
■
Site officiel : https://ana-kori-officiel.blog/
■
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■
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■
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■ Tout en un :
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■ E-mail :
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■ ■ ■
■ Conclusion GMV
Un très grand merci, Ana, de nous avoir livré autant
de détails sur ta vie d’autrice. Je gage que mes lecteurs seront ravis de te
suivre et de dévorer tous tes romans. J’ajoute tous mes vœux de succès pour tes
ouvrages, tout en te souhaitant la bienvenue au 38. Tu verras, on y est très
bien.
Quant à vous, mes amis, je vous l’avait dit, Ana Kori,
c’est du lourd et ses écrits sont à la hauteur de ce que vous venez de
découvrir. Si vous me connaissez bien, vous avez dû noter qu’on a globalement
le même parcours et une technique d’écriture assez similaire. Au final, je suis
certain que vous allez adorer ses thrillers, d’autant plus que je vous les
recommande chaudement.
Pour terminer, je vous rappelle quand même que je
connaissais Ana, d’où cette interview, mais n’oubliez pas qu’il y a d’autres
Reines du crime au 38 et je suis certain que ce sera aussi de belles réussites.
Je souhaite donc bon vent à cette nouvelle collection et
à vous, chères lectrices, chers lecteurs, autant de nuits blanches que de très
belles lectures.
Belle fin de journée à toutes et tous !
Amitiés littéraires.