vendredi 4 février 2022

Interview d'ANA KORI, l'une des Reines du crime aux Éditions du 38 !

Je vous l’ai annoncé lundi dernier, la nouvelle collection des Éditions du 38, Les Reines du crime, est lancée aujourd’hui avec la publication du thriller, Miroir, d’Ana Kori. Je connais bien cette autrice ainsi que son talent de plume, alors j’ai pensé que ça vous ferait plaisir d’en savoir plus sur elle et son univers. Un univers qui est très proche au mien, par ailleurs, ce qui me permet d’en parler objectivement. Prêt ? Alors, suivez le guide.

 

 

Les Reines du crime

Je le disais en réambule, je vous en ai longuement parlé lundi dans un précédent billet. Si vous l’avez manqué, il est toujours disponible (lien ci-dessous). Pour faire simple, dans cette catégorie vous ne trouverez que des autrices talentueuses, sélectionnées par Anita Berchenko et ayant signé des polars ou des thrillers, dans la diversité très étendue que propose ce genre littéraire. Une dernière précision, si je vous parle d’Ana Kori aujourd’hui, vous pouvez faire confiance à Anita et lire les sept romans proposés dans les Reines du crime. Croyez-moi, c’est du roman noir qui frise l’excellence !

Billet du lundi 31 janvier : http://www.milovaceri.com/2022/01/les-reines-du-crime-la-nouvelle.html

 

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Sans plus tarder, je cède la parole à Ana et vous souhaite une belle découverte.

 

■ ■ ■

 

I - VOUS

 


Parlez-nous de vous. Qui êtes-vous, quel est votre premier métier, votre parcours, votre lieu de vie, etc ?

En raison d’un parcours familial compliqué, je n’ai pas eu l’occasion de faire d’études (du moins, pas tout de suite après le bac). J’ai commencé à travailler très jeune, sans qualification particulière, j’ai donc fait pas mal de petits boulots. Puis, j’ai eu l’opportunité de devenir formatrice et cela a été un tremplin vers les métiers de l’informatique. Là aussi, je suis entrée par la petite porte ; j’ai beaucoup travaillé et appris. J’ai gravi les échelons jusqu’à atteindre des postes de direction (cela m’a pris quinze ans).

Ce que ça révèle sur moi ? Que je suis une grande bosseuse plutôt autodidacte !

Je gardais quand même dans un coin de ma tête que je voulais (depuis toujours) écrire des romans. Aussi, quand mes deux enfants ont volé de leurs propres ailes, j’ai quitté un job confortable pour me lancer comme écrivaine. Un véritable saut dans le vide !

Ce choix, je l’ai mûri pendant dix ans, après une période compliquée avec de gros problèmes de santé. Mise à terre en 2010 par un AVC, j’ai soudain pris conscience que la vie était trop courte pour ne pas vivre ses rêves.

Cela fait maintenant trois ans que j’ai basculé dans l’inconnu et je ne regrette rien. Certes, ce n’est pas simple : je suis loin de mes ami(e)s, c’est compliqué financièrement, mais je suis épanouie.

Je continue de beaucoup travailler : la technique notamment, parce qu’écrire, c’est un apprentissage permanent. C’est d’ailleurs ce qui me plaît dans mon métier aujourd’hui : se lever en sachant que je peux encore enrichir mes connaissances, me perfectionner.

Je n’ai cependant pas abandonné un autre métier que j’affectionne : la formation. Je suis formatrice indépendante pour des entreprises. J’enseigne la gestion de projet, le management, la communication non verbale, la gestion des conflits, et beaucoup d’autres.

 

Quelles sont vos passions en dehors de l’écriture ?

Je lis énormément : d’abord pour le plaisir et aussi pour m’améliorer. Je joue aux jeux vidéo, depuis longtemps. J’ai même été testeuse !

Enfin, je rénove ou construis des meubles en bois. Passion qui m’a prise un peu sur le tard et qui me permet de revoir ma manière de consommer. J’apprécie de concevoir les plans, de partir de quelques planches et de tout réaliser. Ce n’est pas toujours parfait (rarement même), mais je m’améliore peu à peu.

 

II - VOTRE ACTIVITÉ D’AUTEUR

 


Depuis combien de temps écrivez-vous ?

Ma première vraie histoire, je l’ai écrite à neuf ans. Je venais de finir « Le Horla » et je me suis lancée dans une histoire fantastique « La main coupée ».

Après cela, j’ai toujours écrit : des textes (billets d’humeur) ou des histoires courtes que je gardais pour moi. Au début des années 2000, je suis rentrée dans le cercle de passionnés de jeux de rôles et j’ai commencé à écrire très régulièrement : des histoires autour de personnages récurrents, des scénarii, des textes pour faire avancer le Rôle Play (et là, je faisais lire par les autres, forcément). Ça m’a beaucoup plu et rassurée sur le fait que ce n’était pas nul !

Puis, après mon AVC, la panne sèche. Quand je reprenais la plume, tout ce que je couchais sur le papier était triste, sombre, sans espoir. J’ai donc laissé l’écriture de côté, le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait… jusqu’en 2017. Là, je me suis lancée sur un roman à partir d’un univers que j’avais créé dans le cadre des JDR. J’avais besoin de savoir si j’en étais capable. Quand je suis arrivée au bout et que mes proches m’ont dit que c’était pas mal, j’ai compris que c’était encore possible. Bon, ce bouquin était plein d’erreurs, la technique n’était pas au top, mais je pouvais le faire. Je devais travailler, m’y consacrer pleinement. Ce que j’ai fait.

 

Quel est votre genre littéraire de prédilection ? Envisagez-vous d’en essayer d’autres ?

Incontestablement le Polar/Thriller et ce, même si j’ai écrit de la SFFF ou du Feel good. Je ne m’interdis rien, si j’ai envie de me lancer dans un nouveau genre, je le fais. Évidemment, j’ai appris à reconnaître et décoder les normes de chaque genre, alors je m’y essaye. Parfois, je comprends que je suis à côté de la plaque, donc, je mets le projet en pause, histoire d’y revenir plus tard (après avoir étudié et testé les spécificités du genre).

 

Combien de temps consacrez-vous à l’écriture dans la journée ? Des moments privilégiés ?

Lorsque je n’anime pas une formation, je commence à écrire entre 7 et 9 h, jusqu’à 13 h. Je fais une pause déjeuner et je m’y remets jusqu’à 19 h (tous les jours, week-ends compris). L’écriture des romans se fait toujours en début de session (le matin avant 11 h et l’après-midi, jusqu’à 16 h). Ensuite, je passe sur le travail technique (écrire des passages en utilisant telle méthode, telle figure de style, etc) ou le travail de recherche (pour les futurs romans) ou l’écriture de synopsis des projets en préparation. Il y a également la réalisation de publications sur les réseaux sociaux ou les billets sur mon blog.

 

Avez-vous une méthode particulière pour écrire un livre ? Avez-vous des ficelles, des trucs, des manies, des objets fétiches, etc ?

J’ai débuté (comme beaucoup) en étant une jardinière : je ne planifiais rien, ne faisais pas de synopsis, pas de bible, etc. J’en suis revenue !

Désormais, chaque roman dispose d’une trame détaillée, chapitre par chapitre, et dans les séries (avec les mêmes héros sur plusieurs romans), une bible (similaire à ce que l’on trouve dans les scénarii pour le cinéma ou les séries).

Grâce à la méthode de John Truby, je prépare toujours des fiches personnages, pas tant pour évoquer leur physique, mais surtout pour creuser leurs motivations, leurs besoins, leurs valeurs. C’est ce qui sera mon guide pour les faire évoluer au fil du récit.

Quant à mon processus, j’ai décliné la méthode AGILE (issue de l’informatique) à l’écriture. Ce qui signifie que chaque session d’écriture commence systématiquement par l’analyse de ce que j’ai écrit la veille. Je relis, contrôle, ajuste... et lorsque je suis satisfaite, je continue l’histoire. Cela me permet d’avoir des premiers jets plutôt aboutis, ce qui raccourcit la phase de relecture / corrections.

 


Que préférez-vous dans votre activité d’auteur ? Avant, pendant, après l’écriture ? D’autres moments ?

Tous les moments m’intéressent parce qu’ils sont riches d’enseignement. Cependant, l’étape pure créative, quand on couche les premières idées, est une phase qui, quoique stimulante, peut s’avérer frustrante. C’est notamment le cas quand je sens que je tiens quelque chose sans vraiment réussir à mettre le doigt sur ce qui en fera une histoire géniale. Pour m’éviter de bloquer sur une idée, j’étale souvent cette étape sur plusieurs mois. C’est la raison pour laquelle je mène divers projets de front.

 

Envisagez-vous l’écriture comme une activité professionnelle à temps plein ?

Oui, c’est quasiment le cas aujourd’hui. L’écriture occupe 90% de mon temps de travail.

 

Dans votre bibliographie, quel livre préférez-vous et pourquoi ?

Actuellement, je dirais qu’il s’agit de « Comme une caresse sur la joue » (ndla : à paraître aux Éditions du 38 le 15 avril et déjà en précommande numérique sur toutes les plateformes). Sans doute parce qu’il y a des sujets qui me touchent particulièrement dans ce roman. Je l’ai écrit comme tous les autres, en suivant mon synopsis. En le relisant, j’ai été très émue d’y voir des éléments plutôt personnels, qui ont fortement résonné en moi. C’était troublant et avec du recul, cela m’a apaisée. Un peu comme si j’avais enfin mis des mots sur un vécu douloureux.

 

Racontez-nous l’aventure de votre première publication et comment s’est-elle passée ?

Ma toute première publication a été faite pour un éditeur numérique qui ne propose que des séries littéraires (Doors, autrefois Rocambole). Ils avaient lancé un concours pour l’ouverture de l’application et j’ai écrit une courte série pour l’occasion. J’ai eu la joie de faire partir des dix retenus. C’était tout au début de mon aventure en 2019 et c’était mon premier concours : j’étais trop fière !



Avez-vous des projets en cours, à plus ou moins long terme ?

Dans les projets littéraires, j’en ai pas mal en stock, dont beaucoup avec Les Éditions du 38. Il y aura encore deux romans à paraître en 2022 après « Miroir » et « Comme une caresse sur la joue ». Pour 2022, j’ai à ce jour cinq projets en cours de travail et déjà trois pour 2023.

Sur le plan général, j’étudie aussi la possibilité de monter une maison dédiée aux artistes, avec des résidences d’écrivains, salles d’exposition, librairies éphémères, etc. C’est un gros projet qui va exiger que je change une nouvelle fois beaucoup de choses dans ma vie, donc, je l’analyse calmement, pose les hypothèses et chiffre chaque scénario pour ne garder que ce qui est possible.

 

Quels sont vos auteurs préférés et quel est le dernier livre que vous avez acheté avant de répondre à cette interview ?

Mon auteur « doudou », c’est sans conteste Amin Maalouf. J’ai relu « Léon l’Africain » et « Le périple de Baldassare » un nombre incalculable de fois. Dans le genre Thriller, j’apprécie particulièrement les romans de Cédric Sire. Dans le genre Polar, j’ai dévoré les livres de Patricia Cornwell. Sinon, je suis une curieuse, donc j’aime découvrir des auteurs (autrices) au gré de mes envies du moment ou sur les conseils d’ami(e)s.

Je suis aussi une grande lectrice de BD dans tous les genres.

Dernier livre acheté « Vindicta » de Cédric Sire.

 

 

III - VOTRE ACTUALITÉ D’AUTEUR

 

■ Quel est votre prochain titre à paraître ? Son genre ? Chez quel éditeur et quand sera-t-il publié ?

Aujourd’hui, c’est mon thriller « Miroir » qui vient juste d’être publié aux Éditions du 38 dans la collection Les Reines du crime (ndla :  lire toutes les informations utiles sur cette nouveauté ci-dessous). Ensuite, ce sera un autre thriller, « Comme une caresse sur la joue », même collection et même éditeur.

 


MIROIR

- Sortie le 4 février 2022

- Numérique et broché

- Thriller

- 215 pages

Résumé

Leur florissant business est menacé lorsque les missions de Charlie sont systématiquement copiées, dans des mises en scène macabres. Qui se cache derrière ces actes ? Un simple admirateur ou un véritable ennemi ? Pour espérer continuer leurs activités, ils vont devoir débusquer ce copycat qui semble en savoir long sur eux.

Liens d'achat

- Amazon Kindle : https://www.amazon.fr/Miroir-reflet-mal-Ana-Kori-ebook/dp/B09NHTG9ZR/

- Amazon broché : https://www.amazon.fr/Miroir-reflet-mal-Ana-Kori/dp/2374539180/

- Kobo : https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/miroir-10

- Éditeur : https://www.editionsdu38.com/catalogue/polars-thrillers/miroir/

 

Pouvez-vous nous parler de sa genèse, de ce qui vous a donné l’idée de l’écrire, la phase d’écriture, les difficultés rencontrées, vos recherches, etc ?

J’avais très envie d’écrire une série d’enquêtes avec des policiers français. Je me suis documentée sur le fonctionnement de la brigade criminelle, les nouvelles méthodes d’investigation, les outils de la police et de la gendarmerie. Ensuite, j’ai pensé aux personnages et notamment à la commandante qui serait au cœur de la série. J’ai brossé les lignes de ce personnage et je suis venue y greffer les collègues.

Ensuite, l’intrigue dont je peux difficilement expliquer la genèse sans dévoiler le cœur du récit (sans divulgâcher). Tout juste expliquer que lorsque je construis un antagoniste, un méchant, je l’imagine comme étant un individu fait de doutes et de certitudes. Je n’aime pas trop les personnages manichéens, trop prévisibles à mon goût. J’essaye de rendre les ennemis aussi légitimes que les alliés.

 

Auriez-vous un scoop, un secret, une histoire ou une exclusivité à révéler sur ce livre ?

Lorsque je prépare un roman, selon le sujet, je fais beaucoup de recherches en amont. Pour celui-ci, j’ai eu besoin de demander conseil à un psychiatre. Il se trouve que j’en connais deux qui ont déjà collaboré avec moi sur une autre série de romans, je les ai donc questionnés. L’idée n’est pas de faire un roman médical, mais de m’approprier des éléments, théories, méthodes de professionnels pour les inclure dans ma fiction. Cependant, cela reste toujours une fiction ! J’ai aussi eu l’occasion d’échanger avec un gendarme sur les techniques d’enquêtes, les procédures, etc.

 

 

 

IV - VOTRE PORTRAIT CHINOIS EN 10 QUESTIONS

 

Si vous étiez...

 

Un animal ? Une orque. L’eau est mon élément préféré, et comme l’orque, j’aime ma tranquillité et déteste être enfermée.

Une couleur ? Le rouge.

■ Le titre d’un film ? Vice et versa (film d’animation), je me retrouve beaucoup dans le personnage Joie qui tente de toujours voir le verre à moitié plein.

■ Une devise ? Il ne faut pas chercher le pou sur la calvitie.

■ Un(e) acteur(trice) ? Sarah Bernhardt : j’ai été fascinée par cette femme dès mon plus jeune âge et à l’époque, j’étais une sacrée tragédienne d’après mes proches !

■ Un personnage historique ? Septimia Bathzabbai Zénobie : la reine de Palmyre qui a défié Rome. Une idole découverte à travers les histoires que me racontait mon père et qui a façonné mon besoin de ne jamais abandonner ou plier face à ce que je considère comme une injustice.

■ Un paysage naturel ? Un fond marin.

■ Un héros de littérature ou de BD ? Gaston Lagaffe (je suis très étourdie et maladroite).

■ Une chanson ? Play that funky music (Wild Cherry).

■ Une œuvre d’art ? Unheart (de Faith47, une street-artiste très inspirante).

 

 

V - VOTRE BIBLIOGRAPHIE

 


■ Romans auto-édités :

- Lola consultante (feel good juin 2020)

- Le jeu du chapeau (série « Les enquêtes d’Elena Mills » Polar/Thriller août 2020 – Prix du Salon du Livre de La Rochelle 2021)

- FIDA-I (série « Les enquêtes d’Elena Mills » Polar/Thriller juin 2021)

- Vénatoria (Anticipation/suspense octobre 2021)

- Mina (série « Les enquêtes d’Elena Mills » Polar/Thriller janvier 2022)

 

■ Séries littéraires (Rocambole)

- RUN (saisons 1 & 2 fantastique 2019)

- Invisible (suspense décembre 2020)

- Le tableau (fantastique décembre 2020)

- La Loi Phénix (contemporain avril 2021)

- Les yeux au fond de la mer (légende revisitée mai 2021)

- Dans la tête d’un monstre (Ed Kemper (portrait d’un tueur en série juillet 2021)

 

■ Les Éditions du 38

- Miroir (Polar/Thriller de la collection « Les reines du crime » 4 février 2022)

- Comme une caresse sur la joue (Polar/Thriller de la collection « Les reines du crime » 15 avril 2022)


 

VI - VOTRE TRIBUNE D’EXPRESSION LIBRE

 

Il y a quelque temps, lors d’un salon, une dame m’a demandé si j’étais psychiatre, parce que l’une de mes héroïnes l’était. Je lui ai répondu : « Non, mais je ne suis pas non plus tueuse en série ! ».

Au-delà de la question, j’ai cherché à comprendre les inquiétudes. Le fond portait davantage sur la légitimité d’écrire une œuvre de fiction sur tel ou tel sujet quand on n’est pas expert. Puis, la discussion avançant, cette dame a admis qu’elle ne se poserait jamais la question à des auteurs et autrices installé(e)s. Nous avons alors trouvé ensemble des exemples et avons rigolé sur le fait que Stephen King n’avait jamais été un clown démoniaque !

Cependant, cette anecdote m’a poussée dans d’autres réflexions. Comme la nécessité, quand on écrit de la fiction, de se documenter sur des sujets spécifiques ou très techniques. Non pas pour en faire une thèse (comme c’est parfois le cas dans certains romans où les connaissances prennent le pas sur l’intrigue ou les personnages). L’objectif est d’asseoir son histoire sur des bases solides. Ceci afin de rendre crédibles les actes, paroles et décisions sans perdre de vue qu’il s’agit de fiction.

Je suis consciente du bien-fondé de ces exigences, de la part de mon lectorat, de ne pas écrire des absurdités, même lorsqu’il s’agit d’un domaine spécifique. C’est dans ce but que je commande souvent des ouvrages étonnants ou que j’alimente mon historique de recherches sur Internet de manière effrayante ! Malgré tout, une fiction ne sera jamais l’exact reflet de la réalité, tout comme elle sera différente d’une scène déjà lue ou vue, parce qu’en plus du socle technique, il y a la création, l’imaginaire de l’artiste. Le tout est que, si c’est bien fait, les lectrices et lecteurs retiendront l’histoire, les personnages, l’ambiance, les émotions, etc.

Et finalement, si on y réfléchit, c’est l’essentiel !

 


 

VII - LES MOYENS DE VOUS SUIVRE ET DE VOUS CONTACTER

 

Site officiel : https://ana-kori-officiel.blog/

Page Facebook : https://www.facebook.com/Hazadef

Compte Twitter : https://twitter.com/AnaKori5

Compte Instagram : https://www.instagram.com/anakori_officiel/

Tout en un : https://linktr.ee/AnaKori

E-mail : anakoriofficiel@gmail.com

 

■ ■ ■

 

Conclusion GMV

Un très grand merci, Ana, de nous avoir livré autant de détails sur ta vie d’autrice. Je gage que mes lecteurs seront ravis de te suivre et de dévorer tous tes romans. J’ajoute tous mes vœux de succès pour tes ouvrages, tout en te souhaitant la bienvenue au 38. Tu verras, on y est très bien.

Quant à vous, mes amis, je vous l’avait dit, Ana Kori, c’est du lourd et ses écrits sont à la hauteur de ce que vous venez de découvrir. Si vous me connaissez bien, vous avez dû noter qu’on a globalement le même parcours et une technique d’écriture assez similaire. Au final, je suis certain que vous allez adorer ses thrillers, d’autant plus que je vous les recommande chaudement.

Pour terminer, je vous rappelle quand même que je connaissais Ana, d’où cette interview, mais n’oubliez pas qu’il y a d’autres Reines du crime au 38 et je suis certain que ce sera aussi de belles réussites.

Je souhaite donc bon vent à cette nouvelle collection et à vous, chères lectrices, chers lecteurs, autant de nuits blanches que de très belles lectures.

 

Belle fin de journée à toutes et tous !

Amitiés littéraires.

 

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