jeudi 26 octobre 2017

1, 2, 3, Nous irons au bois !



Je fais un passage rapide pour vous rappeler que mon thriller, 1, 2, 3, Nous irons au bois, publié chez les Éditions du 38, est actuellement en promotion et que pour l’occasion, l’éditrice a revu la première de couverture. Jolie, non ?


Je vous conseille de lire le résumé pour découvrir ce qui vous attend. Essayez de prendre la place du héros, projetez-vous dans une citadelle perchée sur une île, cernée par une tempête effroyable de l’Atlantique Nord. Un meurtre est commis et vous savez que l’une des personnes autour de vous est un assassin. Mais... qui ? Saurez-vous découvrir le coupable avant la fin du roman ? Je parie que non.
Alors, dépêchez-vous, à 2,49 € seulement, c’est une belle promotion, valable sur toutes les plates-formes de téléchargement et jusqu’au 6 novembre seulement.

Résumé
Alors qu’ils sont en vacances en Corse, Matteo Costa, un policier de la Criminelle, et sa petite amie, Jordan MacDonald, échappent de justesse à un accident de voiture. Comme si cela ne suffisait pas, la jeune femme est convoquée à une réunion de famille qui se déroulera sur l’île de Righ Eilean, dans les Hébrides Extérieures, au large de l’Écosse. Matteo accepte de suivre Jordan et fait la connaissance de sa grand-mère, Marie-Élisabeth MacDonald, ainsi que du reste de sa famille. Malheureusement, une tempête phénoménale les bloque sur l’île et les systèmes de communication sont tous sabotés. Le policier apprend qu’il y a longtemps, le grand-père de Jordan aurait été assassiné et que son meurtrier serait aujourd’hui parmi eux. Costa suppose que Marie-Élisabeth n’a plus toute sa tête, mais quand un premier meurtre est commis, il doit se rendre à l’évidence et le séjour tourne au cauchemar.
Coincé sur une île avec un criminel diabolique en liberté, sans arme et sans moyen scientifique, Matteo n’a que son flair et son intelligence pour mener l’enquête et tenter de débusquer le coupable.
Dans ce huis clos angoissant, Matteo Costa parviendra-t-il à arrêter l’assassin avant qu’il ne commette un autre meurtre ? Une seule vérité demeure : il faut toujours se méfier des apparences et dans cette citadelle écossaise, perdue dans une tempête effroyable, elles pourraient être mortellement trompeuses...


Excellente journée !
Amitiés littéraires.

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