C’est la première
fois que je consacre un billet à du matériel sur mon blog. Je pense que c’est un
bon tuyau pour mes collègues qui passent de longues heures à s’user le bout des
doigts sur des touches en plastique au cliquetis désagréable et des claviers qui
finissent par rendre l’âme beaucoup trop vite. Par conséquent, si vous êtes
auteur et pour faire simple, vous avez dû « bouffer » du clavier à n’en
plus pouvoir ! J’ai enfin une solution qui satisfera les plus exigeants d’entre
vous. Suivez le guide !
■ Le malaise des
claviers pour les écrivains
Qui n’a pas connu
cette trahison du matériel, ce moment de grande solitude quand votre clavier ne
veut plus rien savoir et qu’il vous lâche au pire des moments, au beau milieu d’une
scène épique, bien entendu magistralement écrite, pile à l’instant où votre inspiration
est à son comble ? Vous voyez ce que je veux dire ? Vous vous
souvenez alors de votre crise de nerfs et de l’envol gracieux du traître vers
le mur le plus proche ?
J’ironise, certes,
mais tel est le malaise pour tous les auteurs. Un clavier est presque
secondaire pour l’utilisateur lambda, mais si vous écrivez de manière
professionnelle, alors vous en connaissez l’importance et la difficulté à faire
le bon choix.
Pourtant, cette
mécanique est très simple. Une touche, un ressort, un contact ! Rien de
plus facile à comprendre : vous appuyez dessus et la lettre s’affiche à l’écran.
Cela dit, quand la touche est actionnée des dizaines de milliers de fois, l’usure
est vite au rendez-vous. Un clavier défaillant et c’est le cauchemar des fautes
de frappe, des lettres qui se répètent de façon arbitraire, de celles qui n’apparaissent
plus, des blocages intempestifs…
Après bien des
essais infructueux et des sommes investies dans du matériel high-tech, j’en
étais réduit à acheter des claviers me coûtant une douzaine d’euros et que je
remplaçais tous les quatre à six mois, n’ayant aucun regret à les jeter au
premier signe de fatigue. Ça devenait franchement casse-pieds, mais depuis
quelques mois, j’utilise un nouveau clavier et j’en suis très satisfait.
■ Clavier
Logitech K280e Pro
Je vous rassure
tout de suite ! Alors que sur l’emballage, vous verrez la représentation d’un
clavier Qwerty réservé à nos amis anglo-saxons, vous aurez bien un Azerty dans la
boîte. Attention ! Il faut l’acheter en France pour vous éviter une désagréable
surprise. Ce sera le seul défaut du K280e : la photo sur la boîte !
Ai-je besoin de vous parler de Logitech et du sérieux de cette société ?
Je ne pense pas.
■ La connexion
Premier intérêt, c’est
un classique ! J’entends par là, un clavier filaire qui se connecte sur
port USB. Il sera immédiatement reconnu par Windows 10 et vous pouvez l’installer
alors que votre ordinateur est en fonctionnement. Par conséquent, aucun
problème de Wi-fi, de bluetooth, de piles à changer… comme quoi, le filaire reste
une valeur sûre, surtout si vous l’utilisez au quotidien, pendant douze heures
d’affilée.
■ La frappe et les
touches - l’ergonomie
Voici l’un de ses
plus gros avantages ! Ses touches solides et silencieuses. Fini le tac-tac
agaçant qui trouble votre concentration. Vous pouvez réfléchir et écrire en
même temps, sans bruit parasite. Les touches sont très sensibles, affleurant à
peine, et il est inutile de taper comme un sourd pour voir le caractère s’afficher.
C’est un énorme confort de frappe, d’autant plus si vous écrivez vite et beaucoup.
Bien entendu, la présentation classique permet une adaptation facile et intuitive.
Ça tombe sous les doigts !
■ La solidité
en mode intensif
Je peux en parler
en connaissance de cause ! Sur les derniers mois, ce clavier a « subi »
trois romans, sans oublier les phases de corrections inhérentes, soit environ 2,5
millions de caractères frappés. Je n’oublie pas les autres textes, les billets,
la communication sur les réseaux sociaux, les e-mails… c’est donc quasiment 3
millions de frappes que le K280e a encaissés sans broncher en moins de six mois
et à ce jour, je n’ai détecté aucune faiblesse, pas de problème mécanique et surtout,
les touches ne s’effacent pas. Et ça, c’est assez rare pour le souligner, même
si nous n’avons plus besoin de regarder le clavier pendant qu’on écrit.
■ Cerise sur le
gâteau, le prix !
Quand on sait l’importance
du clavier pour un auteur, on imagine sans mal qu’il serait prêt à investir une
somme disproportionnée pour gagner la paix de l’esprit et un véritable confort
de travail. Eh bien, le Logitech K280e Pro vous offre cette quiétude pour un prix
généralement constaté allant de 24,95 à 29,99 € ! Vous avez bien lu… Une
trentaine d’euros pour acquérir ce clavier qui deviendra le complice de votre
inspiration et de vos longues journées d’écriture. De même, vous le trouverez
chez tous les fournisseurs habituels et même sur Amazon.
■ En
conclusion, une ultime précision
Non, je ne suis
pas actionnaire de Logitech, j’ai payé mon clavier comme n’importe qui et ce n’est
pas une publicité déguisée. J’ai voulu faire cet article, car j’ai réellement
souffert de ce problème pendant des années. Ayant trouvé une solution adéquate
et fidèle à mes principes de partage, j’ai souhaité en informer les collègues
qui liront ce billet. J’espère simplement que cela vous sera utile.
Bonne frappe, bonne
écriture et belle fin de journée !
Amitiés
littéraires.
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