Demain,
à l’aurore, le capitaine Lisbeth-la-Rouge
fera hisser les voiles et prendra le large pour courir les seules aventures dignes
d’un corsaire, la capture des bâtiments, la course aux butins, les horizons des
Mers du Sud, un peu de vengeance aussi, sans oublier l’amour et... l’érotisme le
plus prometteur !
Je
me souviens de Samba, critique très renommée
sur Amazon, ou encore Callixta, excellente et néanmoins chroniqueuse
impartiale sur Blue Moon, qui, à
plusieurs reprises, m’avaient incité à faire... « plus long » !
J’ai une pensée pour vous deux, Mesdames, car avec Lisbeth-la-Rouge, c’est
chose faite.
Après
avoir longuement sévi dans les nouvelles et ayant bien dans l’intention de
poursuivre sur cette route qui m’a plutôt réussi, je me lance dans un texte
érotique beaucoup plus long. Merci aux Éditions
D. Leroy et surtout à ChocolatCannelle,
la directrice de la collection E-ros
qui a bien voulu croire en mon projet et publier Lisbeth.
Ce
roman vous fera voyager en d’autres siècles, sous d’autres latitudes et vers
des horizons où seuls le courage et la plus folle témérité ont force de loi.
Lisbeth, mon héroïne, vous fera vivre de belles aventures et à l’approche des
congés d’été, je suis persuadé que vous embarquerez avec plaisir sur son vaisseau.
La mer, le soleil, l’amour et le sexe le plus torride, n’est-ce pas un
avant-goût de vacances ?!
Si
le récit demeure imprégné de faits d’armes et de courses sur les mers
lointaines, il n’en reste pas moins inscrit dans l’érotisme le plus évocateur.
Celles et ceux qui me lisent habituellement dans ce registre s’y retrouveront sans
problème !
■ Un petit extrait pour vous faire
patienter jusqu’à demain ?
[...]
Dévorée
par la curiosité, elle fit appeler Personne par un mousse. Quand il arriva,
elle baignait toujours dans son bain et l’accueillit par un sourire.
—
Bonjour, Personne.
—
Bonjour cap'taine !
Apparemment,
le colosse noir se trouvait bien à bord d’un navire et ne semblait pas souffrir
du mal de mer. Il portait son éternel pantalon court et son petit gilet.
Lisbeth se mordit les lèvres.
—
Viens me rejoindre dans mon bain, Personne.
Elle
songea soudainement qu’il faudrait lui trouver un véritable nom qui lui ferait
aussi oublier son passé d’esclave.
—
Comment t’appelais-tu, je veux dire, quand tu vivais aux Mascareignes ?
—
Mon vrai prénom, c’est Lobomé, répondit-il en souriant.
—
Allez, viens Lobomé et ne sois pas timide, l’invita Lisbeth en tendant la main
vers lui.
Il
ôta son gilet et fit glisser avec difficulté son pantalon qui épousait ses
muscles.
—
Par le Christ ! jura Lisbeth quand elle le vit entièrement nu.
Le
géant se glissa comme il put dans le baquet pourtant très grand et elle
entreprit de le laver. Quand elle frotta son ventre, elle osa enfin se saisir
de ce membre monstrueux qui, au repos, arrivait à la moitié de ses cuisses.
—
Tu es énorme, avoua-t-elle d’une voix rauque. Comment fais-tu avec les filles ?
Il
sourit, un peu gêné.
—
Je ne fais pas, aucune ne veut de moi.
[...]
■
Achat chez l’éditeur : http://www.dominiqueleroy.fr/produit/188/
Comme
d’habitude, la diffusion sera assurée peu à peu sur toutes vos plates-formes
préférées, Amazon, Fnac, etc.
Excellente
journée !
Amitiés
littéraires.
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